Eric Zemmour : "la Collaboration, d'abord une affaire de gauche"

Publié le par Administrateur

Il est parfois bon de rétablir quelques vérités que la gauche française aimerait oublier, notamment dans son excitation qui fait suite aux propos de Marine Le Pen sur l'occupation de certains de nos territoires. 

Merci à Eric Zemmour, qui par les tribunes médiatiques dont il dispose, évoque pour le grand bien du téléspectateur quelques vérités gênantes que certains aimeraient oublier.

1- "La collaboration fut d'abord la grande affaire de la gauche"
(E.Zemmour)


(NDLR  - quelques exemples des collabos les plus notoires :
Jacques Doriot, élu du Parti Communiste ;
Marcel Déat ou bien encore Pierre Laval, élus socialistes de la SFIO.
Les fiches de ces personnages sont par exemple consultables sur Wikipedia

Le créateur du fascisme lui-même fut le député socialiste italien Benito Mussolini.

Rappelons que nombre de communistes suivaient les directives d'un PCF aux ordres Moscou, capitale d'une URSS qui venait de signer un pacte avec l'Allemagne nazie pour partager la Pologne après son invasion. La plupart ne sont entrés dans la Résistance qu'en juin 41 à la suite de l'opération Barba Rossa ou en 42-43 suite aux réquisitions des STO)
.

"Les premiers résistants furent pour la plupart des gens droite ou de ce qu'ils appellent l'extrême-droite par patriotisme" (E. Zemmour)

(NDLR : L'action Française notamment. Outre la germanophobie viscérale de Charles Maurras, citons Honoré Estienne d'Orves.
Notons que les ouvrages d'historiens spécialisés dans la Résistance décrivent "le refus le plus strict", par pur patriotisme, "d'une quelconque allégeance de la France à un pays tiers chez les premiers résistants" fin de citations)
.

Publié dans Actualité politique

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